Depuis avril 2022, 31 élevages de volaille (dont 7 élevages non-commerciaux) ont été trouvés positifs pour l’influenza aviaire hautement pathogène H5N1 au Québec. L’infection entraîne des conséquences importantes pour le lieu affecté, mais aussi pour les élevages à proximité et pour l’ensemble du secteur de l’industrie avicole.
Migrations printanières et transmission
Avec l’arrivée du printemps, les oiseaux sauvages vont reprendre leur route le long des voies migratoires. Par leur présence accrue sur le territoire, ils contribuent à la propagation du virus et augmentent ainsi le risque de contamination des oiseaux domestiques.
La grippe aviaire se transmet directement d’un oiseau à un autre par les sécrétions et les excréments. Le virus peut également être introduit de façon indirecte lorsque des humains ou du matériel contaminés entrent en contact avec des oiseaux ou leur environnement. Par exemple, le virus peut se trouver dans la nourriture ou l’eau ou encore sur des roues de véhicules, des bottes ou des mains contaminées.
Pour en savoir davantage, cliquez ICI